Depuis le 1er juin 2012, je travaille désormais comme responsable du service informatique des Bibliothèques municipales de Grenoble.
Beaucoup de travail en perspective, avec un SIGB propriétaire bien connu (Portfolio, de la société Bibliomondo), et une « bibliothèque numérique de référence » en cours de constitution.
Il y aura des tablettes et des liseuses dans ce projet, alors, voilà ce qui devrait m’occuper :
ENC : un bilan après 6 ans
6 ans passés à l’ENC (Ecole nationale des chartes), avant de bientôt rejoindre les Bibliothèques municipales de Grenoble. L’heure du bilan.
Arrivé en 2006 à l’Ecole nationale des chartes, j’y ai passé presque 6 ans de ma courte « carrière » professionnelle, avec beaucoup d’intérêt et d’enthousiasme. Impliqué dans le fonctionnement de l’établissement, et dans plusieurs associations de coopération professionnelles, deux choses m’ont marqué, je voudrais en parler ici.
- La liberté d’innover
- La coopération professionnelle ou la mutualisation ?
Sans grands moyens, il me semble impossible de mener une politique d’informatique documentaire valable sans une très grande liberté. Je voudrais remercier l’ENC pour cette grande liberté d’action, toujours respectée jusqu’à la fin de l’année 2011.
Impliqué dans la vie du consortium Couperin, (en tant que négociateur de ressources documentaires, mais aussi en tant qu’animateur d’un groupe de travail sur le livre électronique, la CeB), mais aussi dans Kohala, l’association des utilisateurs francophones du SIGB libre Koha, j’ai pu constater à plusieurs reprises que si la coopération est un mode de travail relativement partagé dans les BU, grâce aux initiatives comme le Sudoc sans doute, la mutualisation n’est pas vraiment encore à l’ordre du jour. Peut-être que le projet de SIGB mutualisé fera avancer les choses…
Le reste relève du boulot, pas du métier, pour reprendre une distinction chère au figoblog. Il n’a donc pas sa place ici.
Tutoriel Carrousel Koha avec Content Flow
Comment créer un carrousel de couvertures pour la page d’accueil de l’OPAC Koha avec Content Flow
D’abord merci à la BU de St Etienne et à Dominique Rouger pour les renseignements généreusement fournis sur Content Flow.
Objectif :
afficher un carrousel de couvertures sur la page d’accueil. Les couvertures correspondent à des notices faisant partie d’une liste, et dans mon cas, la liste des nouveautés.
Prérequis :
– accès à l’édition HTML de la page de l’OPAC ;
– possibilité d’insérer un appel à un ficher JavaScript dans cette page;
– pouvoir télécharger et copier sur le serveur Koha le dossier ContentFlow disponible ici :
http://www.jacksasylum.eu/ContentFlow/download.php
– disposer d’une URL directe d’accès à chaque notice de la liste : dans mon cas, http://opac/bib/numéro_de_notice_Koha
Et pour automatiser le processus :
– une liste de titres dans Koha;
– un répertoire permettant d’exécuter des fichiers PHP sur le même serveur que Koha (de préférence);
– les données de connexion à la base MYSQL de Koha;
– le module CURL de PHP5;
– les fichiers PHP joints.
Installation
– Copier le dossier ContentFlow dans le dossier js de chaque langue de l’OPAC concernée par le carrousel. Ici, on a choisi en et fr-FR.
– Modifier le fichier opac-header-close.inc de chaque langue concernée, pour ajouter
<script type="text/javascript" language="javascript" src="<!-- TMPL_VAR NAME="themelang" -->/js/ContentFlow/contentflow_src.js"></script>
avant la fin du fichier.
– Créer une nouvelle qui s’affichera sur la page localisée de l’OPAC, ici « OPAC fr-FR »
– insérer le contenu suivant dans la nouvelle :
pour ouvrir la div du carrousel :
<div class="ContentFlow"><div class="loadIndicator"><div class="indicator"></div></div><div class="flow">
puis pour chaque exemplaire :
<div class="item" href="http://catalogue.enc.sorbonne.fr/bib/97602"><img src="http://images.amazon.com/images/P/1843842602.01.MZZZZZZZ.jpg" alt="" class="content" title="Medieval Romance, Medieval Contexts" /><div class="caption"><a href="http://catalogue.enc.sorbonne.fr/bib/97602">Medieval Romance, Medieval Contexts<br/></a>edited by Rhiannon Purdie and Michael Cichon</div> </div>
et enfin pour fermer la div :
</div><div class="globalCaption"></div><div class="scrollbar"><div class="slider"><div class="position"></div></div></div></div>
Analysons ce qu’il faut insérer pour chaque exemplaire :
<div class="item" href="http://catalogue.enc.sorbonne.fr/bib/97602">
pour ouvrir la div de l’exemplaire et préciser le lien à suivre quand on clique sur la couverture
<img src="http://images.amazon.com/images/P/1843842602.01.MZZZZZZZ.jpg" alt="Medieval Romance, Medieval Contexts" class="content" title="Medieval Romance, Medieval Contexts" />
donne l’adresse de la couverture chez Amazon et affiche le titre quand on clique dessus ou que l’utilisateur refuse d’afficher les images ou d’exécuter des scripts JavaScript. Le format de l’image est medium, pour ne pas trop ralentir le chargement de la page.
<div class="caption"><a href="http://catalogue.enc.sorbonne.fr/bib/97602">Medieval Romance, Medieval Contexts<br/></a>edited by Rhiannon Purdie and Michael Cichon</div> </div>
Cette div affiche le titre et l’auteur sous la couverture, et crée le lien sur le titre qui renvoie à la notice
La contrainte principale est l’existence de la couverture dans la collection d’Amazon et l’identification de son adresse (généralement basée sur l’ISBN 10 du livre concerné).
C’est ce qui m’a amené à automatiser le processus.
Le script PHP joint se charge tester l’existence de toutes les images de couverture des ouvrages présents dans une liste sélectionnée, avant de générer automatiquement la partie de la div Content Flow qui concerne les exemplaires.
Fonctionnement :
– connexion à la base Koha et récupération de tous les titres avec leur ISBN
– nettoyage des données ISBN : on garde 10 caractères s’il n’y en a que 10 et sinon on ne garde que les 9 caractères correspondant à la racine de l’ISBN 10 avant de calculer le 10e en utilisant l’algorithme ISBN. Voir page Wikipedia sur le sujet :
http://fr.wikipedia.org/wiki/ISBN#Calcul_du_chiffre_cl.C3.A9_d.27un_num….
– test de l’existence d’un fichier à l’adresse automatiquement générée pour l’image de la couverture d’après l’ISBN
– si ce test est positif, vérification de la taille du fichier retourné, pour éviter d’afficher un fichier image GIF transparent de 1 pixel de coté…
– si la taille est supérieure à 1000 octets, écriture de la div correspondant à l’exemplaire
– mise à jour de la nouvelle et de sa date de publication par envoi d’une requête SQL
– fermeture de la connexion à la base.
Paramètrage :
renseigner les variables $liste et $nouvelle en fonction de votre usage de Koha
$numero_liste correspond à la liste de titres pour laquelle vous voulez créer un carrousel
$numero_news correspond à la nouvelle dans laquelle vous voulez voir s’afficher le carrousel
NB : la liste et la nouvelle doivent exister avant le lancement du script.
Fichier attaché | Taille |
---|---|
carrousel_koha.zip | 2.62 Ko |
La video du Symposium Koha 2011 : j’adore !!!
Je ne résiste pas à l’envie de diffuser cette super vidéo réalisée par la super stagiaire qui a grandement contribué à la réussite du symposium Koha 2011 à Lyon. Encore merci à elle !
Le site du symposium sera bientôt en ligne…
Deux images valent mieux que de longs discours
Koha Hackfest 2011
J’ai eu la chance de participer à la Koha Hackfest 2011 qui se tenait chez Biblibre la semaine dernière. Pour le bibliothécaire système que je suis, c’est une épreuve intéressante, de voir s’activer de véritables développeurs de tous les pays autour d’un logiciel de bibliothèque hyper spécialisé, et surtout de se confronter à leurs pratiques de travail.
Le fonctionnement de ce genre de réunion est le suivant : on se donne une semaine pour débugger, faire des tests, valider les patchs correctifs, traduire les interfaces, bref, faire avancer le logiciel tous ensemble. Les développeurs de tous les pays, de toutes les sociétés proches de Koha sont accueillis et regroupés par groupes autour de chaque module du logiciel (acquisitions, circulation, catalogage, périodiques, administration).
J’ai donc dû commencer par apprendre à utiliser les outils des développeurs, en particulier git, que je ne maïtrisais pas vraiment jusque là. Grosse fatigue le premier soir, gros desespoir le deuxième… mais finalement, les rudiments ont suffi. Sur le plan technique, ce fut une bonne leçon d’humilité.
Sur le plan professionnel, je me pose plusieurs questions :
- le principe du logiciel libre était pour moi de participer à un projet; et je me rends compte que seuls quelques personnes conçoivent aujourd’hui Koha comme un projet libre. Pour les autres, ce n’est qu’un logiciel, a fortiori si son installation et sa gestion sont confiées à une société privée.
Pourtant, c’est l’occasion de reprendre la main sur nos outils quotidiens, qui ne sont jamais satisfaisants, comme on sait.
J’avais déjà eu cette impression lors du dernier symposium Koha : le militantisme des origines du libre cède la place au support commercial décentralisé / ouvert. Ce qui est déjà une avancée notable pour les clients et les utilisateurs. - quelle est la place d’un bibliothécaire système là-dedans ? s’il est informaticien travaillant en bibliothèque, et s’il maîtrise le développement, aucun problème, il peut débuguer et contribuer. Si comme moi, il est surtout bibliothécaire et un peu informaticien, il est difficile de trouver sa place dans une manifestation de ce type. Je me suis rabattu sur les traductions, à ma portée, et parce qu’il était trop tôt pour soumettre cette prochaine version à une batterie de tests autant fonctionnels que professionnels. Il paraît qu’on est bon pour faire ça.
- plus généralement, dans ce genre de projet, où doivent intervenir les system librarians pour que cela serve à quelque chose ? certes, de bonnes connaissances des arcanes du logiciel, de ses bases de données, etc. doivent nous aider à formuler correctement les spécifications du logiciel ou ses évolutions, mais on pouvait déjà le faire avec les logiciels propriétaires. On était rarement entendu, mais c’est un autre problème. Je pense qu’on peut chercher d’autres manières de travailler avec les logiciels libres, sans avoir à devenir des programmeurs, sans oublier qu’on est au service de nos collègues et usagers futurs utilisateurs.
Toutes les suggestions sont les bienvenues.
Recensement des utilisateurs français du SIGB libre Koha
L’association française KohaLa pour le développement et la diffusion du logiciel libre de gestion de bibliothèque Koha, organise auprès des bibliothécaires et centres de documentation francophones une enquête sur les usages et les usagers du logiciel Koha.
L’enquête est accessible jusqu’au 30 avril 2011 sur le site de l’association: http://www.koha-fr.org/koha-et-vous
4 à 7 minutes sont nécessaires pour répondre à ce questionnaire en ligne.
Objectifs de l’enquête:
– connaitre les usages et les projets en cours dans les bibliothèques et centre de documentation.
– constituer un annuaire de contacts au sein des établissements ou futurs établissements utilisateurs de Koha, disponible sur le site de l’association KohaLa*.
* Sur autorisation explicite des établissements et dans les conditions décrites dans le questionnaire d’enquête.
Les résultats de l’enquête seront diffusés en ligne et présentés lors de l’assemblée générale de l’association qui se tiendra à l’occasion du Symposium Koha des 26 et 27 mai prochain à l’Université Lyon II.
http://www.univ-lyon2.fr/documentation/actualites/symposium-koha-a-lyon-2-421556.kjsp?RH=WWW88
Merci de répondre à ce questionnaire et/ou de diffuser largement ce message.
Plus d’information sur http://www.koha-fr.org/
OPDS : pour trouver les livres électroniques
Ayant eu la chance de rencontrer Hadrien Gardeur de Feedbooks autour du protocole OPDS (Open Publication Distribution System), je vous fais part des réflexions actuelles autour de ce formidable outil de diffusion des catalogues de livres numériques.
OPDS est un protocole conçu au départ pour favoriser la diffusion de contenus sur les terminaux mobiles. Il est basé sur le format Atom XML, utilisé par de plus en plus de WebServices.
Né au départ d’un besoin de Lexcycle et Feedbooks, le projet a été rejoint par de nombreux acteurs de l’industrie numérique : Adobe, la Library of Congress, Internet Archive en la personne de Peter Brantley
Son fonctionnement se veut simple et ouvert, et devrait aboutir à une RFC validée par l’IETF.
En octobre 2009, les premières briques ont été présentées au public. Aujourd’hui, pour voir un catalogue OPDS en action, le meilleur moyen est de regarder ce que propose le site FeedBooks.
On pourra aussi regarder les diapositives diffusées par Internet Archive, à l’adresse suivante : http://www.slideshare.net/naypinya/web-of-books
Le BookServer développé par Internet Archive prend place dans un véritable « écosystème » du livre numérique qui devrait relier tous les types d’acteurs (éditeurs, libraires, bibliothèques, usagers finaux) et qui repose précisément sur l’adoption et la généralisation d’OPDS.
Quelques particularités techniques
Basé sur Atom, c’est un format souple et ouvert; certaines zones sont obligatoires, pour constituer un standard commun (au format Dublin Core) à tous les logiciels de lecture (entrées simples). Le format minimal peut être complété en fonction des besoins, sans garantie que les terminaux de lecture sauront les exploiter (entrées complètes).
Une balise REL permet ainsi de spécifier le type d’acquisition du document numérique, qui va de l’achat à l’accès gratuit en passant par l’abonnement ou l’emprunt. C’est donc un format exploitable par les libraires, les éditeurs, les bibliothèques.
La granularité n’est pas non plus précisée, ce qui laisse la possibilité de décrire des revues comme des livres, en allant ou non jusqu’à l’article ou jusqu’au chapitre. Liberté est laissée au responsable du catalogue.
Aucun format n’est spécifié non plus pour le document à accéder. On pourrait envisager à l’avenir que OPDS propose un catalogue spécifique en fonction du « format préféré » du terminal de lecture.
Un outil de diffusion, de navigation et de recherche
Reposant sur le principe de la découverte d’un catalogue par la saisie de l’adresse de ce catalogue (par exemple sous la forme opds://…) ou l’ajout automatique lors de la visite d’une page web diffusant un catalogue, ce protocole offre avant tout une navigation hiérarchique dans une collection d’ouvrages structurée. Compatible avec OpenSearch, c’eset aussi un outil de recherche, pourvu que le terminal de lecture le permette.
Que diffuser avec OPDS ?
Pour le moment, OPDS est davantage destiné à signaler des catalogues de ressources cohérentes, un peu moins apte à agréger des ressources hétérogènes proposées par des éditeurs différents, avec des modalités d’acquisitions différentes. Le paiement se fait en effet sur la plateforme de chaque éditeur, sans être centralisé par le protocole.
Comment utiliser OPDS ?
Un smartphone doté d’une application de lecture ePub peut aussi être doté d’un logiciel compatible avec les catalogues OPDS. C’est déjà le cas pour de nombreux téléphones équipés d’Androïd et de l’application Aldiko.
Les tablettes dédiées, si elles sont ouvertes aux ressources variées, seront à plus ou moins long terme compatibles avec les protocole OPDS, voire embarqueront des catalogues OPDS directement. En navigant dans les catalogues, l’utilisateur pourra choisir de télécharger le titre qu’il souhaite consulter en quelques secondes, dans le format qu’il souhaite.
On peut aussi imaginer une extension Firefox destinée à découvrir les catalogues OPDS pour en afficher les titre dans le navigateur. Plusieurs logiciels de lecture d’ebooks sont déjà capables d’explorer ainsi les catalogues, comme FBreader.
Synchronisation entre plusieurs terminaux
Pour assurer la synchronisation entre les nombreux terminaux de lecture qui se multiplient, le protocole prévoit l’implantation d’une bibliothèque personnelle de titres et d’abonnements, récupérable d’un terminal à l’autre.
Question subsidiaire
Quels sont les besoins et les usages français pour un format de ce type ?
Readers : quelques tests
Sony PRS600
On m’a prêté un exemplaire de PRS600 avec lequel j’ai pu faire quelques tests et surtout beaucoup de lectures. Le tourne-pages de l’écran tactile rend la lecture sur tablette aussi agréable que sur papier. Je vois vraiment la différence avec le Cybook Gen3, qui impose de garder ses doigts sur les boutons.
J’en ai profité pour me familiriser avec le format ePub et expérimenter le chargement de fichiers Google Books (« The Monk », de Lewis) en format ePub. Satisfaisant, dans les limites de qualité des fichiers fournis par Google. Les quelques fichiers ePub de Gallica sont très bien supportés.
Le redimensionnement des fichiers PDF est très impressionnant, véritablement de qualité sur les fichiers nativement numériques diffusés en PDF.
Du coté des plateformes de téléchargement d’ouvrages, le PRS600 est compatible (via Adobe Digital Editions) avec l’Harmathèque, et sans doute Dawsonera (à vérifier).
Je suis en revanche très déç par l’autonomie : on dirait que le lecteur reste allumé en permanence, ce qui réduit son autonomie à 3 jours. Etrange.
CyBook Gen3
Pour Noël, Bookeen a mis en ligne son fiirmware pour les heureux propriétaires de Cybook Gen3. La principale nouveauté est le choix à faire entre ePub/Adobe ou Mobipocket, et la navigation par dossier. Je suis resté au format Mobipocket pour le moment, n’ayant pas le temps de tout reconvertir avec Calibre. La navigation par dossier permet de gérer des centaines de titres sur des cartes SD, s’ils sont bien organisés. Cette option accélère vraiment le démarrage du CyBook.
Infodoc : quand est-ce qu’on se voit pour en parler ?
Je reprends avec un peu de retard le fil d’une discussion intéressante autour du BiblioLab. Apparemment, rien de neuf depuis un mois.
Bon, on arrive tous à la même conclusion : on a besoin de lieux, de supports humains, de moyens pour se rencontrer, partager des connaissances et des compétences, tester en direct des logiciels, surtout du libre, etc… Mais y’a rien sur le marché de satisfaisant. Le BookCamp est bien mais c’est ponctuel, idem pour les conférences Code4Lib, LibCamp, etc…
Je ne vois pas comment créer un centre de recherche ou un groupe d’intervention, mais je suis d’accord sur le principe, et tout à fait favorable à la segmentation : des utilisateurs intéressés, des diffuseurs intermédiaires, des geeks barbus. Sachant qu’on peut être l’un ou l’autre selon la thématique, le logiciel concerné, etc.
Alors, qu’est-ce qu’on fait ? des soirées Beaujolais / chat ? c’est un peu triste de boire devant son écran. Je pensais à organiser des journées Infodoc, par exemple à Paris, mais faudrait que ça intéresse des gens. On fournit la salle, le courant, le réseau et des machines pour tester des trucs, et on causeautour d’un verre (de ce que vous voulez).
Mais pour que ça dure, faudrait des serveurs, des accès et des comptes sur ces serveurs, avec la possibilité de tout casser pour tout reconstruire régulièrement, comme le proposait Bibliothèque 2.0 dans son billet. Et surtout, je plaide pour des rencontres « physiques » régulières, eh oui…
Toute autre idée est la bienvenue sauf :
- un site web, un blog,
- une liste de diffusion.